Après l’attentat dans la mosquée de la Grand-Combe, le 25 avril dernier, le Premier ministre français François Bayrou s’est interrogé sur la raison de «refuser les mots justes» et des réserves sur l’emploi du terme «islamophobie». Pour lui, «on ne peut pas combattre ce que l’on ne veut pas nommer». Dans une interview parue samedi soir sur le site du JDD, le chef de l’exécutif a assumé une appellation jusque-là refusée par son ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau. Il estime même nécessaire d’«avoir le courage de dire les choses telles qu’elles sont».
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