En quête de représailles contre Paris, Alger déroule le tapis rouge à un groupuscule breton d’extrême droite. Une alliance absurde, révélatrice d’une diplomatie algérienne devenue cahotique : défendre sa propre intégrité territoriale face au «danger» dun Boualem Sansal, tout en finançant et armant séparatismes et instabilités chez les autres. Analyse dune politique devenue parkinsonienne.
Après le Polisario, Alger flirte avec un parti néonazi breton [Edito]
